De Koh Phi Phi à Koh Lanta

Si avant vous aviez l’impression qu’on n’était pas en vacances, et bien, LA, on est en vacances

Au moment où je vous écris, je suis sur le transat de notre piscine, un Mai Tai à côté de moi (oui, pas dans la main, je suis en train de vous écrire ! Allez tiens, une petite gorgée…), vue sur la mer, le soleil est en train de se coucher, le ciel flamboie. Je suis en maillot de bain, il fait bon, Chatounette et Chaton barbotent dans l’eau, Bob Marley est en fond musical, les gens autours sont détendus, un large sourire au visage et on comprend pourquoi. Tout n’est que bonheur.

Finalement, on ne va peut-être rentrer que l’an prochain…. On est trop bien !

Nous avions choisi un hébergement pas cher dans la resort: une cabane en bambou, mais la fin du voyage approche alors on décide de se lâcher pour la fin du séjour. Et surtout, les logements autour de notre minable cabane en bambou nous font baver. Nous déménageons dans un logement beaucoup plus luxueux. On a la clim’ !! C’est une première je crois ! Bon, on n’aime pas ça, certes, mais c’est un signe intérieur de richesse non ? Alors laissez-nous nous la péter !

Sinon, j’aurais aussi pu commencer cette journée par le début, mais franchement, vous ne loupez pas grand-chose… On a fait les sacs, on a marché jusqu’au port après une courte pause supérette pour acheter des gâteaux et de l’eau, puis on a embarqué sur le bateau. Celui-ci est parti avec à peine un quart d’heure de retard, a fait un demi-tour pour remorquer un bateau en panne puis nous a déposés à bon port à Koh Lanta. Sur le bateau, un rabatteur nous a vendu son hôtel, on a suivi pour s’éviter une galère et payer le transport, et nous voilà ici.

A peine arrivés, on se rue dans la  piscine et n’en sortons que lorsque la faim se fait vraiment trop ressentir.

Il est 15h lorsque nous nous installons à table, entre la piscine et la mer.

C’est à la fin du repas que nous avons décidé de nous payer un logement d’un autre standing et que nous avons déménagé. Et là, nous revoilà au début de ce récit, au bord de la piscine, face à la mer

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