Les danses marquisiennes

Hier soir, à 22 heures, tout le monde dormait. Et à minuit et demi, on était tous les trois réveillés pour une session de grattage collective…. Heureusement, ce fut la seule de la nuit. Mais rebelote au réveil…

On est tous touchés de manière plus intense à des endroits différents : Chatounette c’est les bras, Chaton c’est les jambes et moi j’ai un magnifique collier de boutons autour du cou. Enfin, le reste de nos corps n’est pas épargné, hein! Et au fur et à mesure de la journée, de nouveaux boutons apparaissent… Ma copine Audrey m’a dit qu’il pouvait en sortir de nouveaux pendant plusieurs jours! On n’est pas sortis de l’auberge…

On nous avait dit qu’à 9 heures il y aurait un spectacle de danse Haka sur l’un des sites archéologiques  alors nous nous y rendons. Personne. Peut-être avons-nous mal compris et que c’était sur le Tohua du village d’après ? On y va. Ah! La palanquée de 4×4 est là! Après prise de renseignements, on apprend que c’était bien là où nous étions mais pas avant 10h30. Après quelques courses et remplissage de nos bouteilles à la source de Taipivai, on y retourne.

Dorénavant, des touristes sont là et les artistes également. On patiente que tous les 4×4 soient là pour que le spectacle puisse débuter.

Ça n’aura pas duré longtemps, à peine 15 minutes, mais c’était très chouette ! Et le cadre s’y prête à merveille. 

Nous repartons maintenant sur Taiohae, la ville principale de Nuku Hiva où nous avons déjà passé quelques jours. Le snack du petit quai nous avait manqué. On s’y rue dès en arrivant. Je commande bien évidemment mon plat préféré : le poisson crû coco. Miam!

Chatounette passe ensuite aux devoirs puis le son des tam-tam nous interpelle. Il y a une nouvelle représentation juste à côté de nous. Nous nous y rendons. L’homme tout tatoué est impressionnant à voir. On retrouve le même style de danse et de chant qu’à Hatiheu, des représentations typiques des îles Marquises. Les tenues sont juste un peu moins végétales qu’à Hatiheu.

Nous dînons à nouveau au snack du petit quai mais c’est blindé de monde alors on patiente un peu que ça se vide. On n’aurait pas dû, il n’y a plus le poulet citron qu’on lorgnait. Dommage.

Nous traînons un peu là pour profiter de la connexion internet puis retournons camper au parc municipal sur les hauteurs.

Ce soir, il n’y a pas un pet de vent alors il fait bien chaud. On se risque à laisser la tente ouverte. De toute façon, au point où on en est avec toutes nos piqûres, on n’ en est plus à une centaine près…

Petites parties de Uno et au lit!

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